dimanche 11 mars 2018

Les Souffrances du Jeune Werther

Auteur: Johann Wolfgang Goethe
Edition: Garnier Flammarion
Genre: Classique
Année de sortie: 1771
Nombre de pages: 164
Prix : 4,85€
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Synopsis : Manifeste exalté de l'impétueuse jeunesse, Les Souffrances du jeune Werther est le roman qui donna ses lettres de noblesse à Goethe. Le succès de cette oeuvre parue en 1774 fut étonnant pour l'époque et le personnage de Werther devint le symbole d'une génération entière. Quête d'absolu, transcendance de l'amour, lyrisme de la douleur... il s'agit bien là d'un des plus célèbres textes fondateurs du Romantisme. Werther, perché sur le pic solitaire de la passion qu'il éprouve pour Charlotte, est en proie au vertige. L'objet de son désir n'est autre que la fiancée de son meilleur ami, mais la pureté de son âme ne saurait tolérer l'idée même d'une trahison. Goethe ne se contente pas de mettre en scène un terrible dilemme, il livre une analyse extrêmement fine des tourments intérieurs de son personnage qui finira par se donner la mort. Mais le suicide de Werther n'est pas seulement la réaction suprême à un amour impossible, il résulte également d'un terrible constat d'échec : l'humain ne peut atteindre l'absolu, la souffrance est une fatalité à laquelle aucun être sensible ne peut se soustraire. Une oeuvre qui met en lumière la cruauté de l'existence, qui inflige à l'innocence son macabre cortège de désillusions.

Mon avis : Je n'avais jamais lu de livre de Goethe ni même d'un auteur classique allemand, c'est aussi au sein de mon cours de Littérature Mondiale que cette lecture m'a été imposé. Pour autant, cette lecture était intéressante, très présente dans le mouvement de mal-être des écrivains de ce siècle. C'est une oeuvre importante de ce mouvement. On suit les désillusions de Werther pour son seul amour Charlotte qui ne peut se marier avec lui. Avec ceci, de nombreuses lettres de lamentation sont présentes voire interminables. Par moment, on a envie de le secouer pour lui dire que la vie continue. Ce personnage étant très largement inspiré de Goethe lui-même on sait qu'il a survécu à ce chagrin d'amour qui pourtant ne l'a jamais quitté dans ces œuvres littéraires. Cette lecture était intéressante mais rien de très palpitant, malgré le peu de pages j'ai mis quelques temps avant de boucler cette lecture. Je suis tout de même intrigué par la littérature allemande maintenant et je vais me pencher sur la question. 

En attendant, je vous souhaite de belles lectures!


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